La conclusion à faire du pré-rapport de la contre expertise demandé par le juge d’instruction du deuxième cabinet est que le rapport du cabinet Mazars n’implique pas l’obtention d’éléments probants en vue de
l’expression par le professionnel d’une opinion ou d’une conclusion fournissant une assurance de quelque forme que ce soit.
À la lecture du pré- rapport, on peut dire sans risque de se tromper qu’il n’y a pas eu d’abus sociaux.
Aucun manque à gagner pour la structure, ceux qui ont porté plainte n’ont mis que 2,4 milliards pour une valorisation de 7,5 milliards aujourd’hui.
Le rapport présenté par le cabinet Mazars n’est pas conforme aux normes de rapport d’audit, selon la contre expertise.
L’expert judiciaire désigné par le juge d’instruction démonte totalement le rapport de Mazars, sur l’état des entrées et sorties de valeurs financières, des biens et services, des charges avantages, aucune anomalie n’a été découverte par l’expert.
Le rapport définitif attendu sur la table du juge après les observations des avocats.