Israël et le Hamas ont repris les négociations à Doha dans l’optique de trouver un accord sur un cessez-le-feu. Chaque partie a formulé ses différentes attentes.
Dans un communiqué, le bureau du Premier ministre israélien a réagi vigoureusement dans la nuit du 5 au 6 juillet : les changements exigés par le Hamas sont purement et simplement inadmissibles.
Un débat qui, selon les informations du dimanche 6 juillet, suscite des discussions animées, en particulier entre le chef d’état-major de l’armée israélienne et les ministres d’extrême droite Ben GVIR et SMOTRICH, rapporte RFI.
Actuellement, le différend se concentre principalement sur les conditions de désengagement des forces israéliennes dans le contexte du traité de cessez-le-feu. Israël prévoit de rester sur plusieurs axes jugés essentiels.
L’autre sujet de désaccord concerne l’aide humanitaire. Le Hamas réclame la suspension du dispositif établi par les États-Unis et Israël, connu sous le nom d’agence GHF, et souhaite un retour à la distribution effectuée par les agences de l’ONU.
Alors que les négociateurs israéliens se déplacent à Doha ce dimanche après-midi, Benyamin NETANYAHU s’envole pour Washington. Demain lundi, le Premier ministre israélien est attendu à la Maison Blanche pour une audience. Donald TRUMP, qui le rencontrera demain, a exprimé l’idée qu’un accord pourrait être signé « la semaine prochaine ».