Damel Maissa Fall, Président du Parti SUNU NAATANGUE REEW- La Vraie Rupture, appelle à la dignité et à la résistance face à ce qu’il qualifie d’oppression pastéfienne au Sénégal.
‹‹ Lorsque dignité rimait avec se sacrifier, nos ancêtres nullement séparés à la barbarie coloniale, ont donné leur vie pour cette terre, encore rouge de leur sang, le Sénégal notre bien cher pays. Un sacrifice trahi par des élites dont la lâcheté a plongé le pays dans l’indigence et l’indignité. D’où l’urgence de restaurer cette valeur fondamentale qu’est la dignité, notamment dans un Sénégal sous le joug d’un régime ayant comme seule promesse la trahison et comme seuls projets effacement et châtiments››.
Pour lui, l’opportunité pour nous d’honorer les hommes et les femmes, qui ne se sont pas choisis tels héros, mais se sont reconnus dans la souffrance des plus vulnérables, jusqu’à ressentir le devoir de résister à la régression et l’oppression pastéfienne. Oubliés ou distingués, nous avons choisi de les honorer et célèbrer, de leur exprimer confiance et reconnaissance, avec la création du Prix Abdou Nguer Yonu Ngor.
Il dénonce la “barbarie coloniale” et la trahison des élites qui ont plongé le pays dans l’indignité, appelant à restaurer la dignité.
Il rend hommage à Abdou Nguer et Badara Gadiaga, présentés comme des figures de la résistance citoyenne face à la “répression pastéfienne”.
‹‹ M. Nguer, un citoyen qui, alors qu’apparaissaient les prémices de la dictature, encouragée par la complicité et la lâcheté des politiques et ‹‹ intellectuels ››, portait la voix des méprisés et piétinés de notre société. Courageux et savoureux, éloquent et pertinent, subtil et indocile, ancré et raffiné, il incarne l’intellectualité et la perspicacité de nos “alphabètes” tel qu’il transpire le génie sénégalais que l’ignorance pastéfienne ne pourrait étouffer.››
Il poursuit, surtout, conscient du moment et donc de l’urgence Abdou Nguer nous a fait l’honneur d’accepter d’être associé à ce Prix créé en hommage à tous nos compatriotes qui résistent à la brutalité pastéfienne.
‹‹ Étant tous méritants, chacun d’entre eux pourrait être le premier récipiendaire du Prix Abdou Nguer Yonu Ngor. Dans le même temps, nous ne doutons guère qu’ils se réjouissent du choix porté sur le flamboyant Badara Gadiaga ›› martele t-il.
M. Maïssa exprime la détermination à défendre la démocratie sénégalaise contre les “velléités dictatoriales” du Pastef.
‹‹ Oui, Pastef, c’est maintenant, conscients de vos velléités dictatoriales et déterminés à défendre notre démocratie, que ce révèlent les véritables lions du Sénégal, dont messieurs Abdou NGER et Badara Gadiaga. Exempts de reproches concernant outrance, arrogance et violence, ils vous ont brillamment rappelé que le Sénégal est une terre de résistance. Tenez-vous-le pour dit ! ››.
Il conclut par un vibrant “Vive Abdou Nguer! Vive Badara Gadiaga! Vivent les résistants à l’oppression pastéfienne!
La Vraie Rupture Pour un Sénégal Digne et Prospère”.
B.S