Ledakarois221- Le football est parti pour s’arrêter encore quelques temps, et une probable date de reprise n’est pour l’heure pas envisagée. Ce qui pourrait avoir de sérieuses conséquences sur les prix désormais pratiqués lors des fenêtres de transferts.
Désormais, il ne reste plus beaucoup de pays où le sport est encore en pratique. Aux quatre coins du monde, la vie sportive s’est arrêtée pour essayer de lutter contre le covid-19, et avec elle, ce sont de gros leviers économiques qui sont aussi bloqués, notamment pour ce qui concerne les sports qui brassent le plus d’argent, en tête desquels apparaît évidemment le football.
Les Européennes et nationales ont pris du retard, l’Euro 2020 a été décalé d’une année, ce qui a aussi provoqué le report de la phase finale de la Ligue des nations, de l’Euro féminin, de l’Euro U21. Mais l’impact de cette pandémie pourrait aussi marquer un tournant déterminant sur le marché des transferts dans le monde du ballon rond.
Ainsi, quand la crise du coronavirus passera, les clubs pourraient donc se montrer bien plus prudents. Or, cette éventualité mettrait dans la difficulté des clubs qui ont payé certaines pépites annoncées au prix fort, comme le Paris Saint-Germain, le FC Barcelone ou d’autres équipes de premier plan. Sans même parler des salaires volumineux, qui ont aussi vécu une forte hausse ces dernières années. Quoi qu’il en soit, si cette tendance venait à se confirmer, il serait bien plus difficile de réaliser des plus-values sur les joueurs potentiellement surpayés ces dernières années. Certains grands clubs pourraient perdre sur de gros investissement.