L’Amnesty devoile son rapport Janvier et Août dans la plupart des pays de la région.
Le constat est lourd, avec plus de soixante enfants tues en plus de la pauvreté et des maladies.
L’émigration périeuse des jeunes est aussi un des fléaux qui a poussé l’Amnesty international a appelé les États à se préoccuper des situations économiques et sociaux et à investir dans les secteurs publics et appelle aussi la communauté internationale à respecter les droits des migrants.
La discrimination basée sur les genres a aussi été soulignée la non application de ces droits a été dénoncée et un appel à la lutte a été faite pour ce point.
Le droits à la parole surtout pour les femmes par rapport au violences subies ont été soulignées et félicitées par Amnesty International.
La restriction des libertés a été évoquée sur la bases de nombreux témoignages par le biais de la corruption, de la vie chère, de la violence faite aux femmes et l’insécurité de la population mais dans beaucoup d’états les autorités ont niés ces manifestations.
Les arrestations arbitraires au Togo, Tchad… ont été soulignées mais aussi des manifestations non autorisés dont plusieurs personnes ont été arrêtés et la population a subi la coupure d’internet ainsi que plusieurs médias.
Amnesty International appelle à ouvrir l’espace de liberté, à laisser les personnes manifester librement et à liberer les personnes arbitrairement retenues puisque ces manifestations ont aidé à l’évolution dans plusieurs pays de la région. Ces revendications sont périeuses mais importantes notamment le cas de la Guinee Konakry et du Mali dont les revendications civiles ont pris le pas sur la dictature et favorise le combat pour la démocratie.