Par Yamadou DIABY
Audrey Azoulay, la directrice générale de l’Organisation des Nations unis pour l’Éducation la Science et la Culture (UNESCO), nous indique dans les colonnes du journal, Kritik que “la forte augmentation du nombre de journalistes tués en 2022 est alarmante “.
Selon la même source, “un journaliste professionnel a été tué tous les quatre jours dans le monde”. Ainsi, l’Amérique latine et les Caraïbees ont enregistré 46 vies de vie humaines; l’Asie Pacifique vient en deuxième position avec 16 journalistes tués; l’Europe de l’Est a clôturé la liste des régions les plus dangereuses pour les professionnels du quatrième pouvoir. Elle a enregistré 11 décès.
Le recul de la démocratie accentue le nombre de meurtre des journalistes !

Les guerres et conflits géopolitiques et stratégiques sont à la source de ces nombreux assassinats des hommes qui excercent dans le domaine du journalisme. Le droit à l’information est nos jours, un prix à payer. Les journalistes sont livrés aux mosaïste sorts. Selon le communiqué de l’Unesco, que jecite: ” Les journalistes continuent d’être menacés par de multiples formes de violences, telles que les enlèvements, les détentions arbitraires le harcèlement juridique ou la violence juridique en particulier à l’encontre des femmes journalistes”.
Le taux d’impunité pour le meurtre des journalistes est à 86%.

Sous le prétexte des questions liées à la loi de la diffamation, la cybernétique diffamation et la diffusion de fausses informations les journalistes se font violenter voire même de se faire tuer. Rien qu’en 2022, vingt-trois journalistes ont été tués dans des zones de conflits contre 20 en 2021.