Dans une étude menée par l’African center for economic transformation sur le taux de chômage au Sénégal et au Ghana montre que les femmes sont plus exposées que les hommes. Une situation causée par de nombreux contraintes chez la junte féminine.
Dans un monde où 94% des femmes entrepreneurs sont dans le secteur informel, l’étude faite par l’organisation s’articule autour de l’agriculture, du tourisme et de l’hôtellerie résulte d’une inégalité dans le monde l’emploi et que les femmes sont surreprésentés dans les secteurs informel au détriment du secteur formel. Le challenge de l’autonomisation des femmes persiste davantage mais l’avènement de la Covid-19 reste un frein face à ce fléau. Outre que les facteurs naturels tel que la pandémie, les femmes sont confrontées à des obstacles comme le cadre de vie familiale et sociétal, les entraves persistantes tels que scolarisation et du maintien des filles à l’école, les lenteurs et lourdeurs administratives, des offres de services non spécifiés entre autre révèle Ndéye Sira Mbodji à Dakar lors de la restitution de cette étude.
Toutefois, d’autres obstacles persistes dans le monde professionnel à fait savoir le Docteur Mbodji qui est à l’origine de la réalisation de cette étude sur le chômage des femmes. « Les possibilités de choix de carrières limitées, la discrimination négative dans l’accès a l’emploi, des conditions de travail rigides et peux favorable à la condition féminine, une déconnexion entre environnement d’apprentissage et de travail et des jeunes pas encore assez bien préparées pour accéder au marché du travail actuel et futur », que de facteurs qui freinent l’ambition des femmes et qui malheureusement augmentent davantage le taux de chômage des femmes.