Quoi que l’opinion nationale puisse penser de la mise en œuvre des politiques du régime actuel confrontées, ces temps-ci, par certaines difficultés liées notamment à la rigueur qu’impose une gestion saine et efficace des finances publiques, il convient aussi de saluer les bonds qualitatifs que le gouvernement du Sénégal a réussis en termes de prise en charge des aspirations des sénégalais. Dans leur majorité, les citoyens ont pu mesurer, avec bonheur et satisfaction, les importantes réalisations dans des domaines aussi sensibles que la santé et l’éducation. En voici quelques illustrations étayées par l’économiste Massogui Sylla, responsable politique à l’APR et non moins averti de la mise en œuvre de la politique financières du régime et de ses impacts sur les administrés.
1) La mise en œuvre du programme de couverture maladie universelle
Ils étaient nombreux, ces sénégalais (l’opposition) qui ne croyaient pas trop à cette révolutionnaire politique sociale du chef de l’Etat. Par moment, ils parlaient d’éléphant blanc pour ce qui concerne l’avènement d’une couverture maladie universelle. « C’est mal connaitre le Président Macky Sall qui est un leader trop sensible à la condition humaine », répond Massogui Sylla. Selon lui, « il y a lieu d’admirer la mise en œuvre de la politique d’abord, avant de se rendre compte des gros efforts financiers déployés par son gouvernement pour une prise en charge sanitaire de ses citoyens. Je m’explique : En vue d’améliorer l’accès aux soins pour tous et de relever le taux de couverture de l’assurance maladie de 20% à 75% a mobilisé des ressources internes de 42,7 milliards sur la période 2013-2018. Ces concours financiers ont permis de porter le nombre de mutuelles de santé à 675 et d’enrôler 2.469.804 bénéficiaires dont 1 482 942 membres des ménages bénéficiaires du programme national de bourses de sécurité familiale et 17 192 détenteurs de la carte d’égalité des chances, 11 321 femmes prises en charge dans le cadre de la gratuité de la césarienne, 2 499 665 cas d’enfants de moins de 5 ans pour des consultations curatives et pour la vaccination et 556 malades souffrant d’insuffisance rénale chronique. Ainsi, le taux de couverture du risque maladie de la population générale a atteint 47% en 2017 », se félicite le responsable politique.
2) La gratuité de l’hémodialyse :
Dans ce volet qui fait l’actualité et dont il faut saluer le courage du Ministre Abdoulaye Diouf Sarr qui a diligenté, avec rigueur et fermeté, cette question. Massogui Sylla rappelle : « avec l’entrée en vigueur de la nouvelle mesure depuis le 1ère juillet 2012, cette décision d’une haute portée sociale parachève l’allégement de la prise en charge des personnes souffrant de l’insuffisance rénale chronique. Jusqu’à une période récente, chaque patient déboursait, en moyenne 6 milliards par an. En 2010, la séance était ramenée à 10000f au lieu de 35000f dans le public et 60000f dans le privé. La prise en charge des dépenses onéreuses par l’Etat, disons ruineuses, est une vraie bouffée d’oxygène pour les milliers de sénégalais insuffisants rénaux », a salué l’économiste Sylla. Pour lui, « l’état a accompagné cette mesure de gratuité par la construction et l’équipement de centres de dialyse pratiquement dans toutes les régions du Sénégal ».
3) Mesures prises en faveur des étudiants
‘’La gestion des universités avec un enseignement supérieur de qualité et porteur d’avenir pour les jeunes’’, un sujet sensible qui a fait sortir le génie de nos dirigeants, selon Massogui. En effet, déclare-t-il, « nous avons hérité en 2012 d’une gestion difficile de ce secteur très affecté par les crises internes et externes. Si ne sont les étudiants, ce sont leurs professeurs, et dès lors, il fallait procéder à des diagnostics profonds de ce secteur avant d’esquisser des solutions qui devront s’étaler dans le moyen voire le long terme. Mais le Président Macky Sall, en pur produit de l’enseignement supérieur sénégalais qui, plus tard, ira faire ses humanités en occident, a apporté une touche qui lui est particulière ». Ainsi, explique le responsable politique de l’APR, « s’agissant des allocations d’étudiants universitaires, au plan des seuls crédits budgétaires affectés aux bourses nationales, ceux-ci sont passés de : 24,018 milliards en 2011 à 33,003 milliards en 2012 pour atteindre 39,294 milliards avec la loi de finances initiale (LFI) 2018, et d’un financement de 60, 294 milliards du ministère pour la même gestion 2018, à la suite de deux tranches de crédit additionnels intervenues durant le même exercice. A ces chiffres, il convient d’ajouter les crédits affectés aux bourses étrangères, soit 7 milliards par an alors que pour les bourses nationales, des ressources additionnelles en trésorerie, à travers notamment des financements relais de Ecobank, ce pour éviter toute rupture de paiement au regard en particulier du déphasage entre l’année budgétaire (1er janvier / 31 décembre) et année universitaire (octobre à juillet de l’année suivante). Par ailleurs, il convient de ne pas oublier les mesures favorables pour les étudiants prises tout récemment par le président de la république visant à assurer aux bénéficiaires de meilleures conditions d’études notamment une augmentation de bourses et aides d’un coût estimé à 6,5 milliards et une baisse des tickets de repas, évalué à au moins 1,8 milliards ». Poursuivant son argumentaire, Massogui Sylla soutient qu’en outre, « il s’avère utile de relever la décision prise le 21 février 2013 par le président de la République et relative au placement des bacheliers non orientés dans les établissements d’enseignement supérieur privé, homologués par le Cames ». Entre 2013-2018, « c’est une enveloppe de 31. 707.482 500 FCFA qui a été dégagée par l’état pour la prise en charge des études de cette catégorie d’étudiants. En 2019, 8 milliards ont été payés par l’état. Au total, de 2013-2019, le montant s’est élevé à 39 707 482 500 FCFA. Pour toutes ces raisons, il convient de dire merci Monsieur le Président Macky Sall », conclut-il.
Dans leur majorité, les citoyens ont pu mesurer, avec bonheur et satisfaction, les importantes réalisations dans des domaines aussi sensibles que la santé et l’éducation. En voici quelques illustrations étayées par l’économiste Massogui Sylla, responsable politique à l’APR et non moins averti de la mise en œuvre de la politique financières du régime et de ses impacts sur les administrés.
1) La mise en œuvre du programme de couverture maladie universelle
Ils étaient nombreux, ces sénégalais (l’opposition) qui ne croyaient pas trop à cette révolutionnaire politique sociale du chef de l’Etat. Par moment, ils parlaient d’éléphant blanc pour ce qui concerne l’avènement d’une couverture maladie universelle. « C’est mal connaitre le Président Macky Sall qui est un leader trop sensible à la condition humaine », répond Massogui Sylla. Selon lui, « il y a lieu d’admirer la mise en œuvre de la politique d’abord, avant de se rendre compte des gros efforts financiers déployés par son gouvernement pour une prise en charge sanitaire de ses citoyens. Je m’explique : En vue d’améliorer l’accès aux soins pour tous et de relever le taux de couverture de l’assurance maladie de 20% à 75% a mobilisé des ressources internes de 42,7 milliards sur la période 2013-2018. Ces concours financiers ont permis de porter le nombre de mutuelles de santé à 675 et d’enrôler 2.469.804 bénéficiaires dont 1 482 942 membres des ménages bénéficiaires du programme national de bourses de sécurité familiale et 17 192 détenteurs de la carte d’égalité des chances, 11 321 femmes prises en charge dans le cadre de la gratuité de la césarienne, 2 499 665 cas d’enfants de moins de 5 ans pour des consultations curatives et pour la vaccination et 556 malades souffrant d’insuffisance rénale chronique. Ainsi, le taux de couverture du risque maladie de la population générale a atteint 47% en 2017 », se félicite le responsable politique.
2) La gratuité de l’hémodialyse :
Dans ce volet qui fait l’actualité et dont il faut saluer le courage du Ministre Abdoulaye Diouf Sarr qui a diligenté, avec rigueur et fermeté, cette question. Massogui Sylla rappelle : « avec l’entrée en vigueur de la nouvelle mesure depuis le 1ère juillet 2012, cette décision d’une haute portée sociale parachève l’allégement de la prise en charge des personnes souffrant de l’insuffisance rénale chronique. Jusqu’à une période récente, chaque patient déboursait, en moyenne 6 milliards par an. En 2010, la séance était ramenée à 10000f au lieu de 35000f dans le public et 60000f dans le privé. La prise en charge des dépenses onéreuses par l’Etat, disons ruineuses, est une vraie bouffée d’oxygène pour les milliers de sénégalais insuffisants rénaux », a salué l’économiste Sylla. Pour lui, « l’état a accompagné cette mesure de gratuité par la construction et l’équipement de centres de dialyse pratiquement dans toutes les régions du Sénégal ».
3) Mesures prises en faveur des étudiants
‘’La gestion des universités avec un enseignement supérieur de qualité et porteur d’avenir pour les jeunes’’, un sujet sensible qui a fait sortir le génie de nos dirigeants, selon Massogui. En effet, déclare-t-il, « nous avons hérité en 2012 d’une gestion difficile de ce secteur très affecté par les crises internes et externes. Si ne sont les étudiants, ce sont leurs professeurs, et dès lors, il fallait procéder à des diagnostics profonds de ce secteur avant d’esquisser des solutions qui devront s’étaler dans le moyen voire le long terme. Mais le Président Macky Sall, en pur produit de l’enseignement supérieur sénégalais qui, plus tard, ira faire ses humanités en occident, a apporté une touche qui lui est particulière ». Ainsi, explique le responsable politique de l’APR, « s’agissant des allocations d’étudiants universitaires, au plan des seuls crédits budgétaires affectés aux bourses nationales, ceux-ci sont passés de : 24,018 milliards en 2011 à 33,003 milliards en 2012 pour atteindre 39,294 milliards avec la loi de finances initiale (LFI) 2018, et d’un financement de 60, 294 milliards du ministère pour la même gestion 2018, à la suite de deux tranches de crédit additionnels intervenues durant le même exercice. A ces chiffres, il convient d’ajouter les crédits affectés aux bourses étrangères, soit 7 milliards par an alors que pour les bourses nationales, des ressources additionnelles en trésorerie, à travers notamment des financements relais de Ecobank, ce pour éviter toute rupture de paiement au regard en particulier du déphasage entre l’année budgétaire (1er janvier / 31 décembre) et année universitaire (octobre à juillet de l’année suivante). Par ailleurs, il convient de ne pas oublier les mesures favorables pour les étudiants prises tout récemment par le président de la république visant à assurer aux bénéficiaires de meilleures conditions d’études notamment une augmentation de bourses et aides d’un coût estimé à 6,5 milliards et une baisse des tickets de repas, évalué à au moins 1,8 milliards ». Poursuivant son argumentaire, Massogui Sylla soutient qu’en outre, « il s’avère utile de relever la décision prise le 21 février 2013 par le président de la République et relative au placement des bacheliers non orientés dans les établissements d’enseignement supérieur privé, homologués par le Cames ». Entre 2013-2018, « c’est une enveloppe de 31. 707.482 500 FCFA qui a été dégagée par l’état pour la prise en charge des études de cette catégorie d’étudiants. En 2019, 8 milliards ont été payés par l’état. Au total, de 2013-2019, le montant s’est élevé à 39 707 482 500 FCFA. Pour toutes ces raisons, il convient de dire merci Monsieur le Président Macky Sall », conclut-il.