Le Comité National de Gestion de la Lutte (CNG) a publié une circulaire réitérant sa position ferme contre le dopage dans la pratique de la lutte.
Dans une circulaire, Malick NGOM, par ailleurs président du CNG, a souligné l’importance de préserver l’intégrité du sport, la santé des lutteurs et le respect des règles d’éthique sportive.
Adressée à l’ensemble des acteurs de la lutte (lutteurs, managers, entraîneurs, encadreurs), le CNG rappelle que le dopage est « strictement interdit et constitue une infraction grave aux règlements en vigueur ».
La circulaire met en évidence plusieurs points clés notamment des « contrôles antidopage seront systématiquement effectués, de manière aléatoire ou ciblée, avant ou après les combats ».
« Tout refus de se soumettre à un test antidopage, quelle que soit la raison invoquée, sera assimilé à un cas de dopage avéré et sanctionné comme tel », a averti la CNG
Par ailleurs, l’organe soutient que tout lutteur reconnu coupable de dopage ou refusant de se faire tester s’expose à « des sanctions disciplinaires sévères, incluant la suspension temporaire ou définitive, l’annulation des résultats, le retrait de titres, l’interdiction de compétition et des amendes ».
« Les encadreurs complices ou négligents » seront également tenus responsables et feront l’objet de sanctions appropriées.
Le CNG invite chaque acteur à s’engager activement dans la sensibilisation, la prévention et le respect des règles antidopage, conformément aux normes nationales et internationales en vigueur.
« Ensemble, protégeons la santé des athlètes et préservons l’image de notre sport », stipule la circulaire.