À l’occasion de la première édition d’ECOFEST, la CEDEAO, l’UEMOA et la République du Sénégal ont annoncé ce jeudi 4 décembre, l’ouverture du Salon de la Créativité, de l’Innovation et du Patrimoine sous la présidence effectivement du ministre de la culture Amadou Ba.
Prenant la parole, M.Ba a magnifié avant tout cette initiative de la commission de la CEDEAO et de l’ UEMOA qui témoigne de leur engagement constant en faveur de la promotion des arts et de la culture, deux vecteurs de paix, d’intégration, de diversité et de cohésion sociale dans la sous région.
En effet, selon M. Ba, le thème retenu pour cette édition nous interpelle tous: gouvernant, acteur culturel et citoyen sur le rôle essentiel que la culture en général peut être doit vouer dans la construction de notre société.
M. Amadou Ba de poursuivre que la culture n’est pas un luxe, elle est une nécessité vitale pour nos peuples. Face aux défis qui nous assaillent, la culture est bien plus qu’ un simple ornement.
‹‹ Elle est une force vive, un espace de dialogue, de résilience et d’espérance. Nos artistes par leur talent et leur audace, portent haut les couleurs de notre continent sur la scène internationale ››, souligne t-il.
Conçu comme un espace de dialogue entre héritage et modernité, le
salon valorise à la fois les savoir-faire ancestraux et les solutions
technologiques émergentes qui transforment aujourd’hui les industries
culturelles et créatives africaines.
‹‹ Des évènements comme la biennale de Dakar ont largement contribué à faire de notre sous région un carrefour incontournable de l’art›› affirme le ministre de la culture.
Cependant dit-il, nous ne devons pas nous voiler la face, derrière cette effervescence se cache des défis structurels importants que nous devons collectivement relever.
Selon le ministre Ba, la prédominance d’un marché informel, le manque d’infrastructures de diffusion et de conservation, un soutien étatique par fous insuffisant et un cadre juridique encore fragile sont autant de freins à l’épanouissement de nos talents.
‹‹ les artistes qui sont pourtant la fierté de notre écosystème, peinent encore à vivre de leur métier et à voir leur droit protéger›› .
C’est pourquoi, l’émergence de nouvelles galeries d’art, d’espaces indépendants, de plateforme numérique constituent une formidable opportunité.
Ces initiatives quelles soient physiques ou virtuelles permettent de décloisonner l’art, de le rendre accessible à un public plus large et d’offrir aux artistes de nouvelles perspectives de diffusion et de revenu.
Moment phare du festival, ce salon rassemble artisans, créateurs,
jeunes start-ups, institutions culturelles et professionnels issus de
douze pays ouest-africains pour célébrer la diversité culturelle, la
créativité et l’innovation technologique de la région.
À l’occasion de la première édition
d’ECOFEST, la CEDEAO, l’UEMOA et la République du Sénégal ont annoncé ce jeudi 4 décembre,
l’ouverture du Salon de la Créativité, de l’Innovation et du Patrimoine sous la présidence effectivement du ministre de la culture Amadou Ba.
Prenant la parole, M.Ba a magnifié avant tout cette initiative de la commission de la CEDEAO et de l’ UEMOA qui témoigne de leur engagement constant en faveur de la promotion des arts et de la culture, deux vecteurs de paix, d’intégration, de diversité et de cohésion sociale dans la sous région.
En effet, selon M. Ba, le thème retenu pour cette édition nous interpelle tous: gouvernant, acteur culturel et citoyen sur le rôle essentiel que la culture en général peut être doit vouer dans la construction de notre société.
M. Amadou Ba de poursuivre que la culture n’est pas un luxe, elle est une nécessité vitale pour nos peuples. Face aux défis qui nous assaillent, la culture est bien plus qu’ un simple ornement.
‹‹ Elle est une force vive, un espace de dialogue, de résilience et d’espérance. Nos artistes par leur talent et leur audace, portent haut les couleurs de notre continent sur la scène internationale ››, souligne t-il.
Conçu comme un espace de dialogue entre héritage et modernité, le
salon valorise à la fois les savoir-faire ancestraux et les solutions
technologiques émergentes qui transforment aujourd’hui les industries
culturelles et créatives africaines.
‹‹ Des évènements comme la biennale de Dakar ont largement contribué à faire de notre sous région un carrefour incontournable de l’art›› affirme le ministre de la culture.
Cependant dit-il, nous ne devons pas nous voiler la face, derrière cette effervescence se cache des défis structurels importants que nous devons collectivement relever.
Selon le ministre Ba, la prédominance d’un marché informel, le manque d’infrastructures de diffusion et de conservation, un soutien étatique par fous insuffisant et un cadre juridique encore fragile sont autant de freins à l’épanouissement de nos talents.
‹‹ les artistes qui sont pourtant la fierté de notre écosystème, peinent encore à vivre de leur métier et à voir leur droit protéger›› .
C’est pourquoi, l’émergence de nouvelles galeries d’art, d’espaces indépendants, de plateforme numérique constituent une formidable opportunité.
Ces initiatives quelles soient physiques ou virtuelles permettent de décloisonner l’art, de le rendre accessible à un public plus large et d’offrir aux artistes de nouvelles perspectives de diffusion et de revenu.
Moment phare du festival, ce salon rassemble artisans, créateurs,
jeunes start-ups, institutions culturelles et professionnels issus de
douze pays ouest-africains pour célébrer la diversité culturelle, la
créativité et l’innovation technologique de la région.

