Car quoi qu’on dise, juger est chose facile, il ne demande nullement cette capacité habile d’entrer dans le champ d’actions qu’engendre le doute dans tous processus de réflexion, de productions intellectuelles.
Un coup d’illuminations et Judas se prend de facto pour un saint, non que dis-je pour le Messie annonciateur de bonnes nouvelles.
Plume trempée dans un encrier de boniment et coucher sur un lit de ressentiments!
Pour au finale déféquer ce qu’il avait de plus malodorants du fond de ses entrailles.
Un revers n’est jamais facilement consommable, et quand la haine qu’on voue à une personne persiste au fil des ans, il arrive un moment où cela dégouline de partout, sous forme d’un pseudo livre ou de vidéos.
Ce qu’on retient à la lecture de ces premières lignes, c’est une certitude nauséabonde qui ne laisse place à aucun doute sur l’avenir d’un homme qui a tout donné à ce pays( toujours calomnié, jamais affaibli).
Pour ma part, aucune subjectivité ne suffira à rendre pensable la limitation de mon espace psychique.
Non, car contrairement aux apostats qui suivent le groove mal rythmé d’une opinion perdue. Ma posture intellectuelle n’a pas peur de la solitude, tout en sachant que la vérité n’est pas toujours la voix de la masse, elle se trouve même à ses antipodes.
En attendant la sortie officielle, je vous annonce la parution prochaine d’un livre(Co-publication avec un ami) qui traitera de vraies questions entourant la manipulation de l’opinion.
Excellente journée chers amis…