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Sayodo BAKHOUM, un modèle de Leadership Politique Local. (PAR WALLY BAKHOUM)

by BMCBS
10 octobre 2021
in Contribution
0

À l’image de Maître Valdiodio Ndiaye et du maire Ibrahima Seydou Ndaw, Le doyen Soyodo BAKHOUM figure en haute estime des fils illustres du Saloum dont les noms rappellent toute la grandeur et la noblesse de ce terroir riche en valeurs.
Le saloum est une terre de grands hommes;grands, par la bravoure, la détermination, le sacrifice et surtout pour l’amour inconditionnel de cette terre chaleureuse des honnêtes hommes et de femmes.
C’est un privilège d’y naître mais il faut du mérite pour y être consacré.

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Le Doyen Sayodo BAKHOUM est né à Latmingue, le 16 janvier 1943 d’une famille modeste d’agriculteurs paysans. Les études étaient pour lui, l’unique moyen d’espérer un avenir meilleur dans un pays sous l’emprise coloniale où tous ceux qui étaient nés en dehors des quatre communes ( Dakar,Saint-Louis,Gorée et Rufisque ) étaient considérés comme des indigènes avec tout le lot de désagréments que comporte le statut précaire et avilissant de l’indigénat.
À la fin de son cursus moyen, sanctionné par un diplôme de fin d’études, au collège André Peytavin de Saint-Louis, il choisit sur le conseil bienveillant de Thierno Ciré , imam à la grande mosquée de Latmingué, d’écourter ses études pour assister sa famille démunie.
Contrairement à ses autres camarades de collège, il ne franchira jamais les portes du lycée Faidherbe de Saint-Louis.
Il postule alors au ministère de l’éducation nationale pour un poste d’instituteur et insiste vigoureusement pour être affecté non loin de sa famille et de sa terre natale, son saloum naturel.
De Thiaré, il saisit une rare occasion de rallier l’école élémentaire de Latmingue. Une manière d’être près de sa famille mais aussi une opportunité pour lui de participer à la formation de ceux qui seront des années plus tard des cadres de l’administration.
Du haut de son poste de directeur d’école, il avait réussi à modeler des générations de fils du terroir. Peu sont les cadres de Latmingue et des localités environnantes qui peuvent se vanter de n’avoir jamais bénéficié des grandes aptitudes pédagogiques du Doyen Sayodo BAKHOUM et par dessus tout de sa grande générosité intellectuelle.
L’esprit de sacrifice qui l’avait conduit à abréger son curricula pour soutenir sa famille, demeure sa seule source d’engagement politique au sein du Parti socialiste dont il intègre l’instance de jeunesse locale.
La politique était pour lui un moyen de servir sa communauté.
Son orthodoxie et sa discipline politique avaient favorisé son élection de député à l’assemblée nationale.
Son mandat de député a été marqué par un patriotisme d’une virulence inconnue voire dérangeante. Ses détracteurs le qualifiaient d’ « opposant à sa propre mouvance présidentielle ».
Le monde rural ainsi que la précarité des paysans étaient au cœur de ses préoccupations.
Comme tout bon « Saloum-saloum », servir son pays en général, sa localité en particulier était un viatique de tous les jours.
En représentant national, il s’était recycler en élu local , avec beaucoup de peines et de difficultés à la lumière du chasse au sorcier dont il avait fait l’objet durant son mandat de député mais surtout après sa déchéance.
Son unique tort a été d’avoir trop aimé son pays et son Saloum natal.
Il briguera deux mandat successivement au conseil régional de kaolack en tant que vice président du consulat. Tous ses efforts au quotidien étaient fortement animés par le désir ardent de participer au développement de sa localité. Il n’a jamais voulu faire partie de ces élus locaux obsédés par la prédation foncière:une pratique très courante,hélas, dont les autorités locales usent pour s’enrichir au détriment de leurs propres concitoyens.
Cette philosophie politique est,toutefois,assez rare dans un pays où la plupart des autorités locales sont épinglées dans des litiges fonciers.
Toute sa vie durant, il n’a détenu qu’un seul titre de propriété foncière : sa maison de Thivando dont il a acheté à la solde de son travail.
Son amour pour sa localité l’a conduit à refuser un poste de conseiller du président de l’assemblée nationale pour tenter de briguer un mandat au conseil départemental de kaolack dont l’issue était quasiment incertaine […].
Une façon pour lui de rester proche de sa localité car on ne peut pas servir convenablement à distance.

En ces temps où les échéances électorales locales se profilent à l’horizon et suscitent déjà d’âpres convoitises , revisiter cette figure de la politique sénégalais est pertinent à plus d’un titre.
En effet, force est de constater la particularité des élections locales en ce sens qu’elles traduisent la volonté de l’Etat du Sénégal de décentraliser la gestion des collectivités territoriales en donnant aux populations la possibilité de choisir leurs élus locaux en cohabitation et en complémentarité des autorités déconcentrées nommées par l’administration centrale.

Le doyen Soyodo BAKHOUM est ainsi un modèle abouti de détermination et d’engagement pour la nouvelle génération de politiques qui considèrent de plus en plus les mandats au sein collectivités territoriales comme un ascenseur politique dans le dessein d’obtenir une promotion ministérielle,un poste de direction ou une nomination à la tête d’un conseil d’administration.
Nombreux sont ces élus locaux qui déménagent loin de leur localité une fois l’élection confirmée.
Dakar compte plus de résidences d’élus locaux de que collectivités locales. Personne ne veut plus habiter en permanence dans sa localité; ils préfèrent déléguer leur signature pour courtiser les couloirs des grands édifices de la capitale.
Ils réapparaissent sporadiquement juste pour des prestations symboliques et se sédentarisent uniquement le temps d’une compagne électorale et d’une élection.
Cette situation fausse radicalement l’esprit de la gouvernance locale qui s’appuie sur la proximité, la disponibilité et l’accessibilité des autorités locales.
Certes, la politique rime avec les grandes ambitions mais la plus grande des ambitions d’un élu, de surcroît un élu local ,demeure le rayonnement de sa collectivité qui passe par un désintéressement à toutes formes de velléités cupides et par un engagement sans commune mesure à servir ses concitoyens et non à se servir.

Waly BAKHOUM, Conseiller Juridique et Consultant.

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