Depuis 24 heures, l’affaire nourrit les spéculations et enflamme les réseaux sociaux.
Selon un document daté d’il y a deux semaines, l’armée de l’air aurait demandé à l’attaché de défense de l’ambassade des États-Unis au Tchad d’« arrêter immédiatement toute activité » sur la base aérienne de Koseï en plein centre-ville de la capitale tchadienne.