C’est la triste nouvelle. Astou Sokhna est décédée à la suite d’un défaut de soins et de prise en charge par les agents de santé à la maternité de l’hôpital Ama- dou Sakhir Mbaye de Louga, comme l’avait annoncé sa famille. Le ministre de la Santé et de l’Action sociale l’a confirmé hier, jeudi 14 avril, lors d’un face à-face avec la presse.
« Sur la base des élé- ments du dossier, le décès de Mme Astou Sokhna est considéré comme un décès maternel évitable à travers une bonne évaluation des risques et une surveillance optimale durant son séjour à la maternité », a fait savoir Abdoulaye Diouf Sarr.
La défunte devait « subir en urgence une césarienne ». A l’en croire, les premières conclusions des rapports issus des missions envoyées à l’hôpital de Louga montrent que la défunte n’avait pas d’antécédents médicaux « particuliers »