Des femmes et des jeunes filles ont été violée,par les rebelles du Tigré,dans la regions de Amhara.Une information publiée dans un rapport par Amnesty International,ce mercredi.
Présent dans le Nord de l’Ethiopie,plus précisément dans les régions de Amhara et l’Afar,depuis son déclenchement en novembre 2020.Les rebelles du Tigré ont commencé à adopter d’autres stratégies à part de tuer les gens comme on a l’habitude de les voire.Maintenant ils violent les femmes et des jeunes filles de manière la plus atroce.Nous informent Amnesty International dans un rapport qu’il a publié.
Amnesty dit avoir interviewé 30 victimes de viols – certaines âgées de 14 ans – et d’autres victimes de violences survenues dans les localités de Chenna et de Kobo en août et en septembre, après leur prise de contrôle par le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF).Lit-on dans le journal de France 24.
Des femmes et des jeunes ont été violées de la plus atroce des manières. Des médecins ont déclaré à Amnesty que certaines ont été lacérées de l’intérieur par des fusils à baïonnettes introduits dans leur parties génitales.
“L’un d’eux m’a violée dans la cour et l’autre violait ma mère à l’intérieur de la maison”, a-t-elle dit. “Raconte une fille de 14 ans,qui est actuellement dans une situation critique,elle et sa mère”.
A part Amhara, des régions comme Nifas Mewcha ont été aussi victimes d’agressions faite par les rebelles.
“Les preuves s’accumulent sur une tendance au sein des forces tigréennes à commettre des crimes de guerre et de possible crimes contre l’humanité dans des zones sous leur contrôle dans la région Amhara à partir de juillet 2021”, souligne Sarah Jackson, directrice adjointe de l’ONG pour l’Afrique de l’Est.Cela nous fait voire des séries de viols répétés à grande échelle.
Et même les hôpitaux ne sont pas exclus.ajoute t-elle.