Par Yamadou DIABY
A la Fidak, il fait pleuvoir pour les jeunes diplômés. En d’autres termes, c’est la belle saison pour les jeunes ; ils saisissent toutes occasions pour pêcher la baleine (l’argent). Le cas de Seynabou Sarr est une parfaite illustration de ces jeunes chômeurs, qui du jour le jour sillonnent tels des navires pour décrocher ne ce reste qu’un stage dans les entreprise. Selon WalfQuotidien, Seynabou Sarr est titulaire d’une licence en anglais à l’UCAD et elle « profite de chaque Fidak pour se faire de l’argent ». Les saisonniers pour ne pas dire les chômeurs de tous les genres confondus, ils sont à pied d’œuvre une place.
Une autre fille du nom d’Amina Fall quant à elle aussi, la Fidak fait bonne affaire. Amina mène le business “ gagnant- gagnant ” avec un marocain. Selon la même source, « elle a sauté immédiatement sur cette opportunité où elle est payée à 8 mille F CFA la journée ». La Fidak a donné le sourire à deux jeunes de estimer heureuses par le biais de leurs prestations de travail. Toutefois, plongée dans un sort stressant, Bijou qui vient de Keur Massar dans l’espoir de trouver un job. Malheureusement, elle renouvelle son contrat de jeune diplômée sans boulot ; « je suis là depuis trois jours à la recherche d’un boulot, vain. Chaque matin je fais le tour des pavillons, mais pour le moment je n’ai rien trouvé » dit-elle.
Pourtant, Bijou est diplômé en Gestion des entreprises, qui peine à décoller…hélas ! Quand ? Ce Sénégal permettra à ses fils, une insertion rapide dans le milieu professionnel ?