Le Bâtonnier, Me PAPA LEYTI NDIAYE, cette main invisible, cette robe noire qui a soigné la mise de l’ordre des avocats lors de la dernière agitation de la république.
D’un silence mythique et d’une responsabilité juridique des meilleures le Bâtonnier a géré de manière judicieuse la crise qui a failli s’immiscer dans l’ordre des avocats sur l’affaire de viol présumé Adja Sarr -Ousmane Sonko
L’affaire Adji Sarr – Ousmane Sonko qui a suspendu toutes les activités de la république et a failli mettre le pays a feu et à sang, un fait qui n’a épargné aucun secteur. Si les avocats ont failli finir en queue de poisson l’ordre en a vu et fait autrement. Contrairement aux regards partisans de certains avocats qui ont même des fois utiliser leur penchant au détriment de l’aspect et l’esprit des lois, Me PAPA LEYTI NDIAYE a porté cette affaire avec un regard d’un acteur de la justice.
En effet si les avocats des deux camps ont défendu a bras le corps l’intérêt et de leur client, allant même des fois jusqu’à violer les règles de procédures, le bâtonnier pense que la sensibilité de cette affaire a eu a provoquer quelques fois une perte de repères de certains dans l’ordre avocats.
Malgré le bon nombre de dérives constatées par les avocats des deux parties sur cette affaire présumé de viol le bâtonnier reste persuader que tant que les lois qui régissent l’ordre des avocats sera là, ils sont tenus de les respectées, d’en assurer l’application et surtout des sanctionnes les dérives constatées.
Dans cette logique le Bâtonnier conforte sa position de rappeler avec force et vigueur les dispositions du règlement intérieur et a mis en garde toutes transgressions dudit règlement qui sert de tremplin dans l’exercice de leur fonction. A cet effet, le conseil de l’ordre autour, autour du bâtonnier a eu a convoqué certains confrères pour le rappel de la tenue qu’ils doivent avoir sous peine d’enclencher la procédure disciplinaire en cours qui peut être suivie d’une mesure de suspension provisoire, prise sans formalités particulièrement sans recours comme le prévoit l’article 57 du règlement intérieur de l’ordre.
Une période de crise que le bâtonnier a su gérer avec beaucoup de délicatesse, jouer la sentinelle pour régler cette affaire en interne c’est-à-dire avec les avocats qui sont régis par l’ordre.
Un contrôle que le bâtonnier a eu à faire quotidiennement confie ce dernier au journal l’observateur en ces termes :’’ nous avons de façon quotidienne, eu des échanges téléphoniques, des entretiens en tête à tête, quelques fois des confrontations avec les acteurs agissant dans cette affaire. A l’occasion nous leur avons adressé des admonestations verbales et écrites. Bref nous avons joué notre rôle de vigile pour éviter que la chienlit s’installe dans nos rangs’’
L’ampleur de l’affaire Adji Sarr-Ousmane Sonko un fait regrettable qui a revêtu plusieurs caractères notamment les rapports forces de l’ordre et avocat et juges. Des incidents regrettables selon le bâtonnier, qui a chaque fois que besoin s’est fait sentir a répondu présent pour décanter la situation de la robe noire et redoré le blason de l’ordre des avocats.