Adji Sarr qui accuse Sonko de viol a choisi d’internationaliser son combat avec les médias étrangers comme « Le Monde ». La célèbre masseuse pense que l’état et la justice ont peur de Sonko. Elle n’exclut pas de quitter le pays.
L’affaire Adji et Sonko avait fait beaucoup de victimes avec la mort de 13 jeunes. Elle s’est ouvert au quotidien français « Le Monde » en parlant des difficultés qu’elle vit.
L’affaire qui est censé être privé et devenue une affaire d’état d’autant plus que le leader de pastef crie au complot.
Elle confie vivre comme une prisonnière dans son propre pays, avec des changements d’adresse et de numéro de téléphone fréquent. Avant d’ajouter qu’il est difficile de vivre dans les conditions où tout un peuple l’accuse de la mort des 13 jeunes.
Elle confie qu’elle a tout perdu et aurait préférée se taire. Aussi elle souffre de stresse post-traumatique consécutif aux viols présumés. Elle affirme aussi avoir fait plusieurs tentatives de suicide.
Selon elle Sonko l’aurait violée à cinq reprises. Elle ajoute avoir suivi depuis la chambre de son ami les jeunes qui étaient prêt à mourir pour Sonko. Là, elle a compris que son « violeur » avait gagné.
Adji Sarr et en colère contre l’état et les féministes. Selon elle les féministes ne l’ont pas soutenue. Elle ne croit pas à la justice qui a peur de Sonko, l’homme de terreur.
D’après elle, certains croient qu’elle a été payée pour la n complot. Elle déclare qu’elle n’a pas de ressources et aidée par une association.
Concernant l’élection de Sonko au poste de maire elle déclare avoir beaucoup pleuré. Selon elle « si des gens ont élu un homme accusé de viols, ils voteront pour qu’il soit président un jour ». A la fin elle n’exclût pas de quitter le pays.