Il y’a 10 ans le leader de Benno Bokk YAKAAR accède à la magistrature suprême. Ses fidèles collaborateurs saisissent l’occasion de révéler des témoignages sur l’homme et ses actions. Seydou Gueye, porte parole et coordonnateur de la communication de la présidence de la république monte en première ligne pour défendre le bilan du président Macky Sall et affirme “ces 10 ans sont révélateurs de la viabilité du projet économique articulé au tour du plan Sénégal Emergent”. Parlant de l’homme, la voix du palais de la république revient sur les qualités de son patron et déclare avec fierté dans un entretien exclusif accordé à nos confrères du journal les “Echos” :
” Une date symbole d’une véritable alternative politique, tant du point du contenu programmatique, que de la méthode, avec au cœur de sa nouvelle politique, une ambition transformatrice consignée dans le “Yonu yokkute”. Cette victoire a été la consécration d’un refus intelligent et d’une ingénierie politique, qui forcent l’admiration chez le Président Macky Sall, car sa rupture avec le PDS n’était pas motivée par une posture d’orgueil personnel, mais par la conviction qu’un autre Sénégal était possible.
Et à l’épreuve du pouvoir, il s’est imposé par un charisme débordant, qui force l’admiration chez ses partisans. Simplement parce que le Président Sall est incontestablement un leader engagé, porteur d’une vision, un vrai démocrate et un rassembleur, qui sait partager le pouvoir avec ses alliés et s’ouvrir à son opposition par le dialogue inclusif, au nom de l’intérêt de tous les Sénégalais.
Le Président Macky Sall a surtout une légitimité politique portée par un parti, l’APR, et une coalition gagnante – Benno Bokk Yakaar – qui s’est révélée victorieuse dans toutes les compétitions électorales. L’hégémonie de sa majorité politique ne s’est pas effritée. Bien au contraire, elle s’est consolidée, avec comme déterminant, sa brillante réélection dès le premier tour lors de la Présidentielle de 2019, avec 58,26% des suffrages”.
Et pour ce qui est de l’action du locataire du palais, le coordonnateur de la communication de la présidence de la république liste ses différentes réalisations et ses pas de géants tant sur le plan national que sur le plan international durant cette décennie 2012-2022:
“Les 10 années de pouvoir du Président Macky Sall, c’est d’abord la stabilité politique dans le respect des libertés démocratiques dans la compétition électorale, sans aucun parti-pris militant. Mais aussi des avancées démocratiques incontestables, avec les révisions constitutionnelles qui ont permis de sédimenter notre ancrage démocratique et la pacification de notre espace politique, malgré l’adversité d’une classe politique vindicative.
Par ailleurs, ces 10 ans sont révélateurs de la viabilité de son projet économique articulé autour du Plan Sénégal Emergent (PSE), qui s’inscrit dans le prolongement du “Yoonu Yokkute”. Unique référentiel des politiques publiques, le Plan Sénégal Emergent (PSE) a permis dans sa première phase (2014-2018), d’asseoir les bases d’une croissance à la fois forte, vigoureuse et soutenue, d’au-moins 6% par an. Une nouveauté dans l’espace communautaire et un modèle à l’échelle de l’Afrique subsaharienne. Malgré la survenue de la pandémie liée à la Covid-19, le Sénégal a su résister à la récession économique, au moment où certaines économies se sont affaissées.
Par ailleurs, ces 10 ans sont révélateurs de la viabilité de son projet économique articulé autour du Plan Sénégal Emergent (PSE), qui s’inscrit dans le prolongement du “Yoonu Yokkute”. Unique référentiel des politiques publiques, le Plan Sénégal Emergent (PSE) a permis dans sa première phase (2014-2018), d’asseoir les bases d’une croissance à la fois forte, vigoureuse et soutenue, d’au-moins 6% par an. Une nouveauté dans l’espace communautaire et un modèle à l’échelle de l’Afrique subsaharienne. Malgré la survenue de la pandémie liée à la Covid-19, le Sénégal a su résister à la récession économique, au moment où certaines économies se sont affaissées.
Un privilège qui découle de la solidité de ses agrégats économiques, mais aussi et surtout, de la pertinence de sa feuille de route pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035. Et une des batailles clés remportée par le Président Macky Sall, a porté sur l’impressionnant Plan de résilience économique et sociale, doté d’une enveloppe de 1000 milliards FCfa, qui a permis d’amoindrir les chocs imposés par le coronavirus. Et l’espoir réside dans le Plan d’Actions Prioritaires ajusté et accéléré (PAP2a), qui a permis de renouer en 2022, avec le cycle de croissance, avec comme objectif, à partir de 2023, un taux à deux chiffres.
Sur le plan diplomatique, la présidence de l’Union africaine n’est que l’aboutissement d’un repositionnement stratégique dans la géopolitique mondiale, l’affirmation d’un leadership incontestable dans les instances dirigeantes du monde et l’engagement panafricain, même dans l’expérimentation de son modèle de développement. Depuis l’organisation du sommet de la Francophonie en 2014, jusqu’au Forum mondial de l’Eau, la carte diplomatique du Président Macky Sall s’est renforcée (G7, G20, Compact with Africa, Ticad, entre autres).
Et l’illustration la plus parfaite, réside dans la diversification de nos partenaires au développement : Chine, Turquie, Inde, entre autres. Mais le véritable marqueur de la gouvernance du Président Macky Sall, demeure le chantier social qu’il a ouvert, pour gommer les déséquilibres et restaurer l’équité dans ses composantes sociales, territoriales et financières.
C’est là toute la pertinence du PUDC, du PUMA, de Promovilles, des Bourses de sécurité familiale, de la CMU, qui sont des réponses adaptées et de puissants leviers de promotion de la dignité humaine. Il s’y ajoute les programmes de renouveau infrastructurel qui ont donné le TER et le BRT, les autoroutes et les boucles routières ; la relance de l’industrialisation avec le Parc industriel intégré de Diamniadio ; l’inclusion sociale avec les accès universels aux services sociaux de base ; l’inclusion financière avec le modèle à la fois innovant et opérant de la DER/FJ, entre autres.
Ou encore le programme d’insertion et d’emploi des jeunes «Xeyu Ndaw gn» qui devra mobiliser sur trois ans, 450 milliards FCfa.
Un privilège qui découle de la solidité de ses agrégats économiques, mais aussi et surtout, de la pertinence de sa feuille de route pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035. Et une des batailles clés remportée par le Président Macky Sall, a porté sur l’impressionnant Plan de résilience économique et sociale, doté d’une enveloppe de 1000 milliards FCfa, qui a permis d’amoindrir les chocs imposés par le coronavirus. Et l’espoir réside dans le Plan d’Actions Prioritaires ajusté et accéléré (PAP2a), qui a permis de renouer en 2022, avec le cycle de croissance, avec comme objectif, à partir de 2023, un taux à deux chiffres.
Sur le plan diplomatique, la présidence de l’Union africaine n’est que l’aboutissement d’un repositionnement stratégique dans la géopolitique mondiale, l’affirmation d’un leadership incontestable dans les instances dirigeantes du monde et l’engagement panafricain, même dans l’expérimentation de son modèle de développement. Depuis l’organisation du sommet de la Francophonie en 2014, jusqu’au Forum mondial de l’Eau, la carte diplomatique du Président Macky Sall s’est renforcée (G7, G20, Compact with Africa, Ticad, entre autres).
Et l’illustration la plus parfaite, réside dans la diversification de nos partenaires au développement : Chine, Turquie, Inde, entre autres. Mais le véritable marqueur de la gouvernance du Président Macky Sall, demeure le chantier social qu’il a ouvert, pour gommer les déséquilibres et restaurer l’équité dans ses composantes sociales, territoriales et financières.
C’est là toute la pertinence du PUDC, du PUMA, de Promovilles, des Bourses de sécurité familiale, de la CMU, qui sont des réponses adaptées et de puissants leviers de promotion de la dignité humaine. Il s’y ajoute les programmes de renouveau infrastructurel qui ont donné le TER et le BRT, les autoroutes et les boucles routières
la relance de l’industrialisation avec le Parc industriel intégré de Diamniadio ; l’inclusion sociale avec les accès universels aux services sociaux de base ; l’inclusion financière avec le modèle à la fois innovant et opérant de la DER/FJ, entre autres.
Ou encore le programme d’insertion et d’emploi des jeunes «Xeyu Ndaw gn» qui devra mobiliser sur trois ans, 450 milliards FCfa.” affirme-t-il