Espérons que Monsieur Dia va réussir ce que l’état du Sénégal n’a pas tenté, c’est à dire sauver la plus grande réalisation en centrale énergétique au Sénégal, par une conciliation des positions des actionnaires associés mais surtout sauver ce projet qui est manifestement la souveraineté énergétique du Sénégal.
HAROUNA DIA est connu par ses talents de médiateur un homme qui peut convaincre ses associés à reprendre le dialogue.
La médiation est la bonne voie, des associés en conflit doivent trouver eux-mêmes la solution à l’issue d’échanges en compagnie d’un médiateur qui doit forcément être l’État dans ce cas de figure, ce dernier écoute les revendications de chacun, tout en restant neutre.
Après avoir écouté les revendications de chaque associé, le conciliateur(l’État) propose des solutions, librement acceptées ou non.
Le conflit est tranché par l’État, dont la décision finale est imposée aux associés en désaccord.
Le rôle de l’état dans le conflit entre associés de West African Energy est le moindre qu’on s’attendait de sa part.
West African Energy est une Entreprise conçue et financée à 100% par des privés nationaux regroupés en consortium, la centrale énergétique cycle combiné au gaz du Sénégal est d’une capacité de 366MW et représente 25% de la puissance installée au Sénégal. Avec un coût de 283 Milliards de francs CFA.
Il serait dommage pour des calculs politiques que l’état torpille ce projet en organisant un procès entre associés.
La Solution à l’amiable est la meilleure pour sauver cette entreprise 100% Sénégalaise.
Nos vœux de réussite accompagnent HAROUNA DIA dans cette noble Mission.
Si la voie judiciaire ne peut être écarté ça doit être uniquement pour permettre à un juge de nommer un mandataire parmi les actionnaires en charge de la gestion du conflit.
Cette voie judiciaire encouragée par l’état si elle n’est pas stoppée entraînera forcément la dissolution de West African Energy une perte énorme pour le Sénégal.